ASPIRINE UPSA 325 mg, gélule, boîte de 100
Retiré du marché le : 28/02/2012
Dernière révision : 25/04/2005
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : BRISTOL-MYERS SQUIBB
Celles de l'aspirine et en particulier :
Prévention secondaire après un premier accident ischémique myocardique ou cérébral lié à l'athérosclérose :
- Réduction de la mortalité et de la morbidité de cause cardiovasculaire :
. après infarctus du myocarde ;
. dans le cadre d'angor instable ;
. avant angioplastie coronaire transluminale ;
. après accident ischémique cérébral transitoire ou constitué.
- Réduction de l'occlusion des greffons après pontage aorto-coronarien.
Prévention secondaire après un premier accident ischémique myocardique ou cérébral lié à l'athérosclérose :
- Réduction de la mortalité et de la morbidité de cause cardiovasculaire :
. après infarctus du myocarde ;
. dans le cadre d'angor instable ;
. avant angioplastie coronaire transluminale ;
. après accident ischémique cérébral transitoire ou constitué.
- Réduction de l'occlusion des greffons après pontage aorto-coronarien.
CONTRE-INDIQUE :
- antécédents d'hypersensibilité aux salicylés (bronchospasme, réaction anaphylactique),
- toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise,
- ulcère gastroduodénal en évolution.
- Ce médicament lorsqu'il est administré à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires (> = 500 mg/prise et par jour) est contre-indiqué à partir du sixième mois de la grossesse : l'aspirine, comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer : le foetus à une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire ; un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ; la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement du temps de saignement. Cet effet anti-agrégant peut se manifester même à très faibles doses. En conséquence, à partir du 6ème mois de la grossesse, en dehors d'utilisations cardiologiques ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d'aspirine est CONTRE-INDIQUE.
- L'aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
- Lorsqu'elle est administrée à doses élevées (> = 3 g/j), l'aspirine est contre-indiquée avec les anticoagulants oraux.
DECONSEILLE :
- Déconseillé dans la goutte, dans les métrorragies et/ou ménorragies car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée des règles.
- L'aspirine ne doit généralement pas être utilisée en cas d'association avec :
. les anticoagulants oraux (pour des doses d'aspirine < 3 g/j chez l'adulte),
. d'autres AINS (pour des doses élevées d'aspirine, soit > = 3 g/j chez l'adulte),
. l'héparine,
. la ticlopidine,
. les uricosuriques (voir interactions).
- L'utilisation de ce médicament est déconseillée en cas d'allaitement : l'aspirine passant dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillé.
- antécédents d'hypersensibilité aux salicylés (bronchospasme, réaction anaphylactique),
- toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise,
- ulcère gastroduodénal en évolution.
- Ce médicament lorsqu'il est administré à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires (> = 500 mg/prise et par jour) est contre-indiqué à partir du sixième mois de la grossesse : l'aspirine, comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer : le foetus à une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire ; un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios ; la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement du temps de saignement. Cet effet anti-agrégant peut se manifester même à très faibles doses. En conséquence, à partir du 6ème mois de la grossesse, en dehors d'utilisations cardiologiques ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d'aspirine est CONTRE-INDIQUE.
- L'aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
- Lorsqu'elle est administrée à doses élevées (> = 3 g/j), l'aspirine est contre-indiquée avec les anticoagulants oraux.
DECONSEILLE :
- Déconseillé dans la goutte, dans les métrorragies et/ou ménorragies car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée des règles.
- L'aspirine ne doit généralement pas être utilisée en cas d'association avec :
. les anticoagulants oraux (pour des doses d'aspirine < 3 g/j chez l'adulte),
. d'autres AINS (pour des doses élevées d'aspirine, soit > = 3 g/j chez l'adulte),
. l'héparine,
. la ticlopidine,
. les uricosuriques (voir interactions).
- L'utilisation de ce médicament est déconseillée en cas d'allaitement : l'aspirine passant dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillé.
- Réservé à l'adulte.
- Utiliser avec précaution :
. en cas d'antécédent d'ulcère gastrique ou duodénal ou d'hémorragies digestives,
. en cas d'insuffisance rénale,
. en cas d'asthme,
. en cas de dispositif intra-utérin.
- Déconseillé :
. dans la goutte.
. dans les métrorragies et/ou ménorragies car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée des règles.
- Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est prudent d'éviter l'administration d'aspirine dans ces situations.
- Grossesse : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'aspirine. Les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l'aspirine, prise au cours du premier trimestre. Il n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l'aspirine, lorsqu'elle est administrée en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour pendant le premier trimestre de la grossesse. Pendant les 4ème et 5ème mois, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n'a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque. En conséquence, pendant les 5 premiers mois de la grossesse : l'aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en traitement chronique au-delà de 150 mg/j.
- Utiliser avec précaution :
. en cas d'antécédent d'ulcère gastrique ou duodénal ou d'hémorragies digestives,
. en cas d'insuffisance rénale,
. en cas d'asthme,
. en cas de dispositif intra-utérin.
- Déconseillé :
. dans la goutte.
. dans les métrorragies et/ou ménorragies car l'aspirine risque d'augmenter l'importance et la durée des règles.
- Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est prudent d'éviter l'administration d'aspirine dans ces situations.
- Grossesse : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'aspirine. Les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l'aspirine, prise au cours du premier trimestre. Il n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l'aspirine, lorsqu'elle est administrée en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour pendant le premier trimestre de la grossesse. Pendant les 4ème et 5ème mois, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n'a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque. En conséquence, pendant les 5 premiers mois de la grossesse : l'aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en traitement chronique au-delà de 150 mg/j.
- Bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées qui sont habituellement la marque d'un surdosage.
- Ulcères gastriques.
- Hémorragies digestives patentes (hématémèse, melaena...) ou occultes, responsables d'une anémie ferriprive.
- Syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura...) avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste 4 à 8 jours après l'arrêt de l'aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique en cas d'intervention chirurgicale.
- Accidents de sensibilisation (oedème, urticaire, asthme, accidents anaphylactiques).
- Douleurs abdominales.
- L'aspirine peut prolonger le travail et retarder l'accouchement.
- Ulcères gastriques.
- Hémorragies digestives patentes (hématémèse, melaena...) ou occultes, responsables d'une anémie ferriprive.
- Syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura...) avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste 4 à 8 jours après l'arrêt de l'aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique en cas d'intervention chirurgicale.
- Accidents de sensibilisation (oedème, urticaire, asthme, accidents anaphylactiques).
- Douleurs abdominales.
- L'aspirine peut prolonger le travail et retarder l'accouchement.
Grossesse :
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'aspirine.
- Données cliniques concernant l'aspect malformatif (premier trimestre) :
. aspirine en traitement ponctuel :
les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l'aspirine prise au cours du premier trimestre.
. aspirine en traitement chronique :
i n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l'aspirine lorsqu'elle est administrée en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour pendant le premier trimestre de la grossesse.
- Données cliniques concernant l'aspect foetotoxique (deuxième et troisième trimestres) :
. pendant les 4ème et 5ème mois, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n'a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque.
. à partir du 6ème mois de la grossesse, l'aspirine à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires (> = 500 mg/prise et par jour), comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer :
. le foetus à :
. une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire ;
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios.
. la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement du temps de saignement. Cet effet anti-agrégant peut se manifester même à très faibles doses.
- En conséquence :
. pendant les 5 premiers mois de la grossesse :
. l'aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin,
. par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour,
. à partir du 6ème mois de la grossesse :
en dehors d'utilisations cardiovasculaires ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d'aspirine est CONTRE-INDIQUE à partir du 6ème mois.
Allaitement :
L'aspirine passant dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillé.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'aspirine.
- Données cliniques concernant l'aspect malformatif (premier trimestre) :
. aspirine en traitement ponctuel :
les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l'aspirine prise au cours du premier trimestre.
. aspirine en traitement chronique :
i n'existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l'aspirine lorsqu'elle est administrée en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour pendant le premier trimestre de la grossesse.
- Données cliniques concernant l'aspect foetotoxique (deuxième et troisième trimestres) :
. pendant les 4ème et 5ème mois, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n'a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque.
. à partir du 6ème mois de la grossesse, l'aspirine à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires (> = 500 mg/prise et par jour), comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer :
. le foetus à :
. une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire ;
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu'à l'insuffisance rénale avec oligohydramnios.
. la mère et l'enfant, en fin de grossesse, à un allongement du temps de saignement. Cet effet anti-agrégant peut se manifester même à très faibles doses.
- En conséquence :
. pendant les 5 premiers mois de la grossesse :
. l'aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin,
. par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'aspirine en traitement chronique au-delà de 150 mg/jour,
. à partir du 6ème mois de la grossesse :
en dehors d'utilisations cardiovasculaires ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d'aspirine est CONTRE-INDIQUE à partir du 6ème mois.
Allaitement :
L'aspirine passant dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillé.
ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES :
- Anticoagulants oraux :
Salicylés à fortes doses (> = 3 g/j chez l'adulte) : augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale ainsi que déplacement de l'anticoagulant oral de ses liaisons aux protéines plasmatiques).
- Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine :
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Anticoagulants oraux :
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale).
Salicylés à faibles doses : nécessité d'un contrôle, en particulier du temps de saignement.
- Autres AINS :
(y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte).
Augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
- Héparines :
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les salicylés).
Utiliser d'autres substances que les salicylés pour un effet antalgique et antipyrétique (paracétamol notamment).
- Ticlopidine :
Augmentation du risque hémorragique (synergie des activités anti-agrégantes plaquettaires).
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite (incluant le temps de saignement).
- Uricosuriques :
Benzbromarone, probénécide.
Diminution de l'effet uricosurique (compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux).
Utiliser un autre analgésique.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Antidiabétiques :
Insulines, chlorpropamide.
Majoration de l'effet hypoglycémiant par de fortes doses d'acide acétylsalicylique (action hypoglycémiante de l'acide acétylsalicylique et déplacement du sulfamide de sa liaison aux protéines plasmatiques).
Prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance glycémique.
- Corticoïdes (gluco-) (voie générale) :
Diminution de la salicylémie pendant le traitement par les corticoïdes et risque de surdosage salicylé après leur arrêt (augmentation de l'élimination des salicylés par les corticoïdes).
Adaptation des doses de salicylés pendant l'association et après l'arrêt du traitement par les glucocorticoïdes.
- Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) :
Pour les salicylés à fortes doses : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire par diminution de la synthèse des prostaglandines rénales). Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.
Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
- Interféron alfa :
Risque d'inhibition de l'action de l'interféron.
Utiliser de préférence un analgésique antipyrétique non salicylé.
- Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine :
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline :
Augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôle plus fréquent du temps de saignement.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Dispositif intra-utérin :
Risque (controversé) de diminution d'efficacité du dispositif intra-utérin.
- Thrombolytiques :
Augmentation du risque hémorragique.
- Topiques gastro-intestinaux : sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de calcium.
Augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines.
- Anticoagulants oraux :
Salicylés à fortes doses (> = 3 g/j chez l'adulte) : augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale ainsi que déplacement de l'anticoagulant oral de ses liaisons aux protéines plasmatiques).
- Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine :
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Anticoagulants oraux :
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale).
Salicylés à faibles doses : nécessité d'un contrôle, en particulier du temps de saignement.
- Autres AINS :
(y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l'adulte).
Augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif (synergie additive).
- Héparines :
Augmentation du risque hémorragique (inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les salicylés).
Utiliser d'autres substances que les salicylés pour un effet antalgique et antipyrétique (paracétamol notamment).
- Ticlopidine :
Augmentation du risque hémorragique (synergie des activités anti-agrégantes plaquettaires).
Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite (incluant le temps de saignement).
- Uricosuriques :
Benzbromarone, probénécide.
Diminution de l'effet uricosurique (compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux).
Utiliser un autre analgésique.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Antidiabétiques :
Insulines, chlorpropamide.
Majoration de l'effet hypoglycémiant par de fortes doses d'acide acétylsalicylique (action hypoglycémiante de l'acide acétylsalicylique et déplacement du sulfamide de sa liaison aux protéines plasmatiques).
Prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance glycémique.
- Corticoïdes (gluco-) (voie générale) :
Diminution de la salicylémie pendant le traitement par les corticoïdes et risque de surdosage salicylé après leur arrêt (augmentation de l'élimination des salicylés par les corticoïdes).
Adaptation des doses de salicylés pendant l'association et après l'arrêt du traitement par les glucocorticoïdes.
- Diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) :
Pour les salicylés à fortes doses : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire par diminution de la synthèse des prostaglandines rénales). Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur.
Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
- Interféron alfa :
Risque d'inhibition de l'action de l'interféron.
Utiliser de préférence un analgésique antipyrétique non salicylé.
- Méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 15 mg/semaine :
Augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline :
Augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôle plus fréquent du temps de saignement.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
- Dispositif intra-utérin :
Risque (controversé) de diminution d'efficacité du dispositif intra-utérin.
- Thrombolytiques :
Augmentation du risque hémorragique.
- Topiques gastro-intestinaux : sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, d'aluminium et de calcium.
Augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines.
Réservé à l'adulte.
La posologie recommandée est de 1 gélule par jour ou 1 gélule tous les deux jours, à avaler avec un verre d'eau.
Après infarctus du myocarde, ainsi que dans l'angor instable, le traitement sera entrepris le plus précocement possible après l'accident inaugural ou la récidive.
Ce médicament ne sera administré que sur prescription médicale.
La posologie recommandée est de 1 gélule par jour ou 1 gélule tous les deux jours, à avaler avec un verre d'eau.
Après infarctus du myocarde, ainsi que dans l'angor instable, le traitement sera entrepris le plus précocement possible après l'accident inaugural ou la récidive.
Ce médicament ne sera administré que sur prescription médicale.
Durée de conservation :
18 mois.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
18 mois.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
Sans objet.
Compte tenu de la posologie préconisée, un surdosage est improbable, même chez le sujet âgé.
En revanche, l'intoxication (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle) fréquente chez les tout-petits se manifeste par :
- Symptômes cliniques :
. intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées,
vertiges, nausées, sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
. intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma,
collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
- Traitement :
. transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé,
. évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique,
. contrôle de l'équilibre acidobasique,
. diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire.
En revanche, l'intoxication (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle) fréquente chez les tout-petits se manifeste par :
- Symptômes cliniques :
. intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées,
vertiges, nausées, sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
. intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma,
collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
- Traitement :
. transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé,
. évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique,
. contrôle de l'équilibre acidobasique,
. diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire.
- ANALGESIQUE.
- ANTIPYRETIQUE.
- ANTI-INFLAMMATOIRE A DOSE ELEVEE.
- ANTI-AGREGANT PLAQUETTAIRE.
L'aspirine est un inhibiteur de l'activation plaquettaire : en bloquant par acétylation la cyclo-oxygénase
plaquettaire, elle inhibe la synthèse de thromboxane A2, substance activatrice physiologique libérée par les plaquettes, et qui jouerait un rôle dans les complications des lésions athéromateuses.
Des doses répétées de 20 à 325 mg entraînent une inhibition de l'activité enzymatique de 30 à 95%. Au-delà de 325 mg, l'activité inhibitrice n'augmente que très peu, et l'effet sur l'agrégation plaquettaire est à peu près identique.
L'effet inhibiteur ne s'épuise pas au cours de traitements prolongés et l'activité enzymatique reprend progressivement au fur et à mesure du renouvellement des plaquettes 24 à 48 heures après arrêt du traitement.
A la posologie recommandée, l'aspirine réduit la synthèse de prostacycline endothéliale, mais la signification clinique de cette action est obscure et moins importante en pratique qu'en théorie semble-t-il.
L'aspirine allonge le temps de saignement d'environ 50 à 100% en moyenne, mais des variations individuelles peuvent être observées.
Si des posologies de l'ordre de 1 g à 1,5 g se sont révélées actives, la posologie la plus basse actuellement considérée comme efficace (à partir d'études contrôlées) est de l'ordre de 300 à 333 mg dans le cadre des indications mentionnées (voir indications). Cependant, une étude a montré l'efficacité de 160 mg/j d'aspirine dans le traitement de l'infarctus du myocarde à la phase aiguë et subaiguë, administrés dès les signes évocateurs et poursuivis pendant au moins 1 mois, par réduction de la mortalité "vasculaire" évaluée à 5 semaines et à un an.
- ANTIPYRETIQUE.
- ANTI-INFLAMMATOIRE A DOSE ELEVEE.
- ANTI-AGREGANT PLAQUETTAIRE.
L'aspirine est un inhibiteur de l'activation plaquettaire : en bloquant par acétylation la cyclo-oxygénase
plaquettaire, elle inhibe la synthèse de thromboxane A2, substance activatrice physiologique libérée par les plaquettes, et qui jouerait un rôle dans les complications des lésions athéromateuses.
Des doses répétées de 20 à 325 mg entraînent une inhibition de l'activité enzymatique de 30 à 95%. Au-delà de 325 mg, l'activité inhibitrice n'augmente que très peu, et l'effet sur l'agrégation plaquettaire est à peu près identique.
L'effet inhibiteur ne s'épuise pas au cours de traitements prolongés et l'activité enzymatique reprend progressivement au fur et à mesure du renouvellement des plaquettes 24 à 48 heures après arrêt du traitement.
A la posologie recommandée, l'aspirine réduit la synthèse de prostacycline endothéliale, mais la signification clinique de cette action est obscure et moins importante en pratique qu'en théorie semble-t-il.
L'aspirine allonge le temps de saignement d'environ 50 à 100% en moyenne, mais des variations individuelles peuvent être observées.
Si des posologies de l'ordre de 1 g à 1,5 g se sont révélées actives, la posologie la plus basse actuellement considérée comme efficace (à partir d'études contrôlées) est de l'ordre de 300 à 333 mg dans le cadre des indications mentionnées (voir indications). Cependant, une étude a montré l'efficacité de 160 mg/j d'aspirine dans le traitement de l'infarctus du myocarde à la phase aiguë et subaiguë, administrés dès les signes évocateurs et poursuivis pendant au moins 1 mois, par réduction de la mortalité "vasculaire" évaluée à 5 semaines et à un an.
Les gélules d'ASPIRINE UPSA 325 mg renferment l'aspirine sous forme de microcapsules enrobées par une mince pellicule d'éthylcellulose qui laisse diffuser progressivement l'acide acétylsalicylique au fur et à mesure de l'élévation du pH. La demi-vie plasmatique de l'acide acétylsalicylique est d'environ 1 heure, puis il est hydrolysé dans le plasma en acide salicylique.
Le salicylate plasmatique est en grande partie lié aux protéines plasmatiques. Le taux maximum sanguin en salicylate est atteint entre 3 et 4 heures après l'administration.
L'élimination urinaire augmente avec le pH urinaire.
La demi-vie de l'acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose administrée.
Le salicylate plasmatique est en grande partie lié aux protéines plasmatiques. Le taux maximum sanguin en salicylate est atteint entre 3 et 4 heures après l'administration.
L'élimination urinaire augmente avec le pH urinaire.
La demi-vie de l'acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose administrée.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Gélule verte et blanche.
100 gélules sous plaquettes thermoformées (Alu/PVC).